Quatrième de couverture :
Catherine Arel, jeune journaliste du «Québec Global», profite à peine du succès de ses précédents articles, lorsqu'elle reçoit un appel inattendu de son grand-père.

Ayant quitté le pays depuis plusieurs années, le cardinal Fernando Delorme souhaite offrir à sa petite-fille une histoire qui bouleversera le monde entier.

Le Vatican protégeait un secret qui pourrait avoir des conséquences néfastes s'il était dévoilé. Toutefois, il contribuerait à mousser la carrière de Catherine qui ne cherche qu'à accroître sa notoriété dans le domaine journalistique.

Selon les dires de Fernando, une fiole erre sur la terre, protégée par les messagers  de Dieu, mais pourchassée par les chevaliers de Satan. L'enjeu de cette lutte
interminable : la domination de l'humanité.

Incitant son employée à dénicher les exclusivités, le directeur «Québec Global», Étienne Pothier se retrouve, bien malgré lui, la cible de la perversité du roi de l'enfer. Est-il lié à cette histoire de fiole, ou est-il simplement un obstacle pour Satan?

De toute évidence, la guerre entre le bien et le mal s'intensifie, et ce, depuis le jour où le fiole quitta le mont Golgotha.

Ma description :
Catherine, jeune journaliste très prometteuse, travaille pour Étienne Pothier. Après plusieurs années d'absence, son grand-père refait surface et lui demande de venir la rencontrer car il a un sujet d'article pour elle qui va la propulser parmi les meilleurs journalistes.

Son grand-père, le cardinal Fernando Delorme vient lui raconter des secrets bien gardés du Vatican. Pendant une soirée riche en émotion, Catherine va boire les paroles de son grand-père arrivant à peine à croire à toutes les informations fournies par son grand-père.

Pendant ce temps, le patron de Catherine, Étiennte, est la proie de phénomènes les plus étranges les uns que les autres. Il semble poursuivi par des entités diaboliques qui semblent déterminées à lui faire perdre la raison. Sans savoir pourquoi ça lui arrive, il cherche à comprendre ce qui lui arrive.

Catherine, de son côté, vit également des phénomènes étranges mais, absorbée par le récit de son grand-père, elle tente de les oublier.

Quel est ce secret si bien gardé par le Vatican? Les phénomènes étranges qui arrivent à Étienne vont-ils avoir raison de lui? Ont-ils un lien avec ce que Catherine est en train d'apprendre? C'est ce que vous découvrirez en lisant La phalia du Golgotha.

Mon avis :
J'ai lu ce livre en partenariat avec Frogzine. Merci ma belle Tania!! J'ai d'abord été surprise par le format du livre. Le livre ressemble à une revue (format 8½ 11). J'ai trouvé ça original et c'est écrit gros alors ça se lit bien.

J'ai tout de suite embarqué dans l'histoire. L'histoire me rappelle un peu les romans de Dan Brown où on vient dévoiler des secrets bien cachés du Vatican et de la religion. Les phénomènes paranormals viennent apporter quelque chose de différents et de surprenant. Je ne lis pas souvent des livres d'auteurs québécois et même si les récits racontés par le grand-père se déroulent ailleurs dans le monde, l'action de l'histoire se déroule dans les rues de Québec près de chez moi. C'est agréable de connaître personnellement les lieux décrits et de savoir qu'on est passé dans la rue à laquelle l'auteur fait référence. Ça n'arrive pas souvent.

Malgré que toute l'histoire se déroule en une seule soirée, ce qui est surprenant pour un roman, l'auteur a su garder mon intérêt du début à la fin. On constate qu'il y a eu beaucoup de recherches derrière cette histoire et les liens faits font tous du sens.

Il manque un chapitre dans le livre (verset 33) qu'on est supposé aller télécharger sur le site de la maison d'éditions. Je ne suis malheureusement pas arrivée à obtenir ce verset. Dommage mais malgré tout, je n'ai pas le sentiment du livre incomplet.

Il est supposé avoir une suite à cette histoire ce qui sera nécessaire si on veut savoir ce qui va se passer ensuite. J'espère bien qu'il y aura une suite car je suis très intéressée à la lire.

Les personnages:
Catherine Arel : Jeune journaliste très prometteuse. Elle travaille pour «Québec Global». Ayant perdu ses parents dans un accident de la route, la seule famille qu'il lui reste c'est son grand-père qui est cardinal au Vatican. Elle a beaucoup d'ambition et soit obtenir un article qui va faire mousser sa carrière.

Étienne Pothier : Patron de Catherine, il est très attirée par sa jeune journaliste et se sent très privilégié de l'avoir dans son équipe. Après le départ de Catherine pour aller rejoindre son grand-père, il expérimente des phénomènes très étranges. Il va devoir résister pour ne pas perdre la raison.

Fernando Delorme : Grand-père de Catherine, il est cardinal au Vatican. Ayant été un très proche ami du pape Jean-Paul II, il est revenu pour dévoiler à sa petite-fille un secret très bien caché du Vatican qui pourrait changer la vision des gens sur la religion catholique.

L'auteur :
La phalia du Golgotha est le premier roman de Patrick Duchesne un auteur de Victoriaville au Québec.

J'ai bien aimé son style d'écriture. Comme je le disais, toute l'histoire se déroule en une soirée alors on aurait pu s'attendre à des longueurs mais non, il sait maintenir l'intérêt du lecteur. On voit qu'il maîtrise bien le sujet et il fait des liens entre des évènements connus des amateurs d'histoire.

Le seul point qui m'a paru incohérent dans son écriture c'est que la plupart de l'histoire est raconté par Fernando à sa petite-fille. Il lui parle et lui dit tout ce qu'il sait mais ce n'est pas dans un language parlé. Ce que je veux dire c'est que, par exemple, lorsqu'un homme parle, il ne commence pas à décrire toute la pièce dans laquelle il se trouvait en détail. Ça fait du sens quand c'est le narrateur qui nous le décrit mais pas quand c'est un personnage qui parle. Cependant, je dois dire que ça n'enlève rien à cette histoire que je recommande.

J'espère sincèrement que nous pourrons lire très bientôt la suite de cette histoire qui est supposé être une trilogie. Bonne lecture!!

Auteur : Patrick Duchesne
Éditions : D-Star Éditions
Nombre de pages : 159 pages

Ma cote :

Quatrième de couverture :
Dans ses best-sellers internationaux, Da Vinci Code, Anges et Démons et Le Symbole perdu, Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.

 C’est l’une des plus grandioses œuvres de la littérature italienne, L’Enfer de Dante, qui est le fil conducteur de cette nouvelle aventure. En Italie, plongé dans une atmosphère aussi opaque que mystérieuse, le héros de Dan Brown, Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard va devoir affronter un adversaire diabolique sorti des limbes de l’Enfer et déchiffrer l’énigme la plus complexe de sa carrière. Elle le fait plonger dans un monde où l’art et la science de pointe tissent un écheveau qui exige de sa part toute son érudition et son courage pour le démêler. S’inspirant du poème épique de Dante, Langdon se lance dans une course contre la montre pour trouver des réponses et découvrir en traversant les Cercles de l’Enfer ceux qui détiennent la vérité… avant que le monde ne soit irrévocablement changé.

Ma description :
Robert Langdon se réveille dans un hôpital de Venise. Il ne sait pas comment il est arrivé là car la dernière chose dont il se souvient c'est qu'il se rendait à ses cours aux États-Unis. Le voilà sur un autre continent amnésique, blessé par balle à la tête et il apprend qu'on a voulu le tuer. Il a des souvenirs qui remontent lentement à la surface. Lorsqu'une personne tente de venir le tuer pour de bon à l'hôpital il réussi à s'enfuir avec l'aide de la médecin Sienna Brooks qui se retrouve malgré elle entraînée dans toute cette histoire.

Robert se rend compte qu'il va devoir trouvé les morceaux du puzzle pour retrouver la mémoire et s'en sorti car même son ambassade semble contre lui. En commençant avec un tube cousu à l'intérieur de son veston et en suivant et décryptant indices après indices, Robert, avec l'aide de Sienna va vite se rendre compte que ce qu'il doit trouver est d'une importance capitale pour l'humanité.

Un homme se basa sur l'Inferno du poème la Divine Comédie de Dante, a monté un plan diabolique qui est selon lui vital pour sauver l'humanité.

Vont-ils arrivés à décoder tous les indices avant qu'il ne soit trop tard? Qui sont tous ces gens qui semblent déterminés à retrouver Robert Langdon et à l'exterminer? Qui est cette femme aux cheveux gris que Robert voit en rêve et qui semble avoir besoin de lui?

Mon avis :
J'ai beaucoup aimé Inferno au même titre que j'ai aimé le Code Da Vinci. Encore une fois l'histoire est truffée de symboles et de renseignements tous aussi intéressants les uns que les autres sur l'histoire et les arts.

Il y a pleins de rebondissements dans l'histoire et pas vraiment de temps morts. On se demande tout le long de l'histoire où tout ça va nous mener et Dan Brown semble nous diriger vers quelque chose alors qu'il nous surprend totalement vers la fin du livre. On ne peut pas prévoir la fin et au fur et à mesure où tout s'éclairci, on va de surprises en surprises mais tout fini par faire beaucoup de sens.

J'ai bien hâte de voir le film qu'ils vont faire avec ce livre. Ça va être vraiment très bien. Je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer Tom Hanks en lisant le livre et je le voyais évoluer dans l'histoire.

J'ai lu des critiques négatives à propos du fait que c'était trop ressemblant aux autres livres. Pour ma part, je n'ai lu que le Code Da Vinci mais même si le principe est le même, j'ai adoré et je le recommande à tous ceux qui aiment les histoires de Dan Brown.

Les personnages :
Je ne décrirai pas les personnages car je ne veux pas faire de spoiler. Ce que je peux vous dire c'est qu'ils sont tous aussi intéressants les uns que les autres et ne vous fiez pas aux apparences ... Je n'en dis pas plus.

L'auteur :
Dan Brown est un romancier américain de romans policiers et ésotériques né le 22 juin 1964 à Exeter dans le New Hampshire qui a vendu près de deux cents millions d'exemplaires. Il a suscité une grande polémique avec la publication de ses romans Robert Langdon : Anges et Démons, le Da Vinci Code, Le Symbole perdu et Inferno.

Auteur : Dan Brown
Maison d'édition : JC Lattès
Nombre de pages : 526 pages

Ma cote :

Quatrième de couverture :
Ce qui a tout déclenché, c'est la vision d'une photo de vacances.

Sur le cliché, un homme entouré de sa famille. Un homme trop gros pour être moi. Et pourtant.

J'ai mangé pour avoir du poids comme père, comme fils, comme individu. J'ai dévoré pour combattre mes angoisses, mes frustrations. Je me suis grisé de douceurs sans compter, jusqu'à ce jour où je ne me reconnais plus.

Ce choc me réveille. Je commence un régime qui se transforme bientôt en cheminement intime, quête de moi-même. Pour y parvenir : de la méthode, des astuces culinaires, et un désir porté par la volonté. Avec, à l'horizon, une promesse d'apesanteur.

Une métamorphose qui pourrait être la vôtre : le roman d'un homme qui a grossi, qui a maigri et qui n'a pas repris.

Mon résumé :
Ceci n'est pas un roman, l'auteur nous raconte vraiment ce qu'il a vécu. Il nous raconte le choc qui a déclenché son désir de changer, son désir de maigrir. Il nous décrit comment il en est arrivé là et nous raconte également les régimes qu'il a essayés ou ceux dont il a entendu parler en nous donnant son avis sur chacun d'eux et son expérience avec ceux qu'il a essayé.

Il nous explique finalement le régime qu'il a choisi et les différentes étapes (phases 1, 2 et 3) du régime qu'il a suivi. Il nous décrit les obstacles qu'il a rencontré à chacune des étapes, comment les gens réagissaient autour de lui et comment il a su résister à ces tentations.

Tout ceci en donnant des conseils basés sur ses observations et ses nombreuses lectures sur le sujet.

Mon avis :
J'ai lu ce livre dans le cadre d'un partenariat avec Frogzine. Merci ma belle Tania de me faire confiance.

J'ai été agréablement surprise par cette lecture. Je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre et finalement ça s'est lu tout seul. J'aime beaucoup la façon dont l'auteur a abordé le sujet. Il l'aborde avec humour et humilité. Il ne prétend pas avoir la solution idéale, il dit seulement avoir trouvé la méthode qui fonctionne pour lui. On a le goût de le suivre dans son aventure et de croire que ça pourrait marcher pour nous.

Monsieur Abécassis, a suivi un régime, oui, mais il a également analysé les causes et les comportements qui l'ont amenés là. C'est souvent le problème avec les régimes. Les  gens veulent corriger l'extérieur mais ça commence d'abord par l'intérieur. Monsieur Abécassis l'a compris et je crois que c'est la clé de son succès.

Donc je vous invite à découvrir l'aventure de Monsieur Abécassis et qui sait, vous y découvrirez peut-être la solution pour vous...

L'auteur :
Joël Abécassis est réalisateur à France Télévision. Cet ancien professeur de lettres signe avec Apesanteur un premier livre où l'humour, l'autodérision et la sincérité côtoient des conseils pratiques pour maigrir.

J'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteur. Il ne cherche pas à nous perdre dans des termes scientifiques. Il nous raconte le tout simplement à sa façon. Il fait des chapitres très courts ce qui accélère beaucoup la lecture. Bref, un bon moment livresque.

Auteur : Joël Abécassis
Maison d'édition : JC Lattès
Nombre de pages : 185 pages

Ma cote :

Quatrième de couverture :
« Elle était si parfaite, comment avais-je pu soudain aimer une autre personne ? Que deux coups de téléphone, un déjeuner, un baiser, un seul baiser, et quelques caresses remettent à ce point ma vie, notre vie, en question ? Qu'est-ce qui m'avait pris de dire aussi vite à Léa : j'ai embrassé une autre femme ?

La greffe avait pris, en un baiser. Un baiser qui avait duré plus de deux heures et ses mains, les doigts de Marie, sous mon pull, sur ma poitrine. Il m'avait semblé que ma vie basculait. Et maintenant comment faire ?

Léa, Marie ; Marie, Léa. Peut-on donc l'espace d'un court moment, ou même d'un temps plus long, aimer deux personnes à la fois ? »

Après le succès de Fais-moi oublier, un nouveau roman d'amour, celui d'une femme tiraillée entre Léa, celle qu'elle aime, et l'envoutante Marie qui, en un baiser, vient tout bouleverser.

Ma description :
C'est l'histoire d'un couple de lesbiennes qui sont mariées et qui vivent une grosse crise. La narratrice, appelons-la comme ça puisqu'on ne sait pas son nom, est mariée avec Léa mais elle a fait une gaffe en embrassant une autre femme, Marie. Sa plus grosse gaffe cependant a été de l'avouer à Léa.

Notre couple passe alors pas trois phases : la déchirure, la déconstruction et la reconstruction. D'abord, Léa est complètement déchirée par la nouvelle et, on s'en doute, est très fachée et déçue. De son côté, notre narratrice, est abasourdie par la réaction de Léa et ressent beaucoup de culpabilité. En même temps, elle n'arrête pas de penser à Marie, la femme qu'elle a embrassée. Elle veut à tout prix l'oublier pour pouvoir reconstruire sa vie avec Léa mais en même temps, elle rêve de revoir Marie et d'entendre son rire qui l'a complètement envoûté.

Le couple se déconstruit ensuite afin de prendre du recul et de voir si elles tiennent vraiment l'une à l'autre. Lors de cette phase, notre narratrice se rend compte de bien des choses à propos de son couple avec Léa, à propos d'elle-même et sa facôn d'agir envers Léa. Ça ne l'empêche pas de toujours sentir autant de culpabilité. Finalement, on essaye de reconstruire tant bien que mal le couple en essayant de repartir sur de nouvelles bases.

Les personnages :
La narratrice : Eh oui, c'est la première fois que je vois ça un personnage de roman qui n'a pas de nom. Nulle part dans l'histoire on apprend le nom de notre narratrice.  Notre narratrice écrit des chansons pour des chanteurs. Elle est mariée avec Léa depuis quelques années. Elle était hétérosexuelle avant Léa et a découvert son homosexualité avec elle. Elle a dû se tailler une place dans la vie de Léa suite au décès de l'ancienne amoureuse de Léa, Louise. Notre narratrice, a toujours fait attention pour être à la hauteur, à mon avis, en s'oubliant elle-même. Elle a beaucoup de choses à dire à Léa mais elle n'y arrive pas.

Léa : Scénariste pour des séries télévisées. Femme de notre narratrice, elle est vraiment très fâchée et déçue par la trahison de sa conjointe. Elle a un caractère très changeant. Un instant elle semble prête à pardonner, du moins en partie et la second d'après, elle pique une crise. Elle interprête tout à sa façon à elle et ne prend pas la peine de chercher à comprendre ou à voir si elle a des torts.

Louise : Ex-amoureuse de Léa, décédée lors d'un reportage à l'étranger. Étant décédée, Louise n'est pas un personnage qui interagit dans l'histoire mais elle est tout de même très présente. Elle avait pris une très grande place dans la vie de Léa et on constate assez vite que Léa n'en a pas fait son deuil comme il se devrait.

Marie : Femme que notre narratrice a embrassée. Marie semble très attachée à notre narratrice. Cette dernière est complètement envoutée par Marie et n'arrive pas à se la sortir de la tête.

Mon avis :
Ouff cette lecture fût longue et plutôt pénible. Le titre est plutôt accrocheur et on se demande ce qui a pu arriver à cause d'un baiser. L'histoire avait du potentiel mais, à mon avis, l'auteure n'a pas su l'exploiter de la bonne façon pour qu'on demeure accroché du début à la fin. Il y a beaucoup de longueurs et on devient frustré et plutôt confus par l'attitude des deux personnages principals.

À un moment, on pense que ça va commencer à s'arranger un peu entre les deux femmes et pouff tout éclate à nouveau. Notre narratrice ne cesse de se dire qu'elle veut que tout s'arrange avec Léa et elle se dit intérieurement combien elle aime mais dès que Léa tente une approche elle se raidit ce qui fait éclater Léa de colère et de tristesse. Léa donne de l'espoir à la narratrice mais lui enlève quelques secondes plus tard. Notre narratrice ne cesse de se dire qu'elle va oublier Marie, que ce n'était rien cette histoire et quelques secondes après, elle rêve de ses caresses et s'ennuie d'elle éperdument.

C'est frustrant de voir la narratrice s'auto-flageler comme elle le fait alors qu'elle n'a peut-être pas tous les torts. On voudrait lui secouer les puces pour qu'elle s'exprime.

Ce qui fait que je donne deux étoiles à ce livre c'est la fin du roman. Après avoir tourné dans la colère et la tristesse tout le long du livre, on perçoit enfin un peu d'espoir vers la fin. J'ai même eu une très petite partie vers la fin qui m'a fait éclaté de rire et croyez moi ça faisait du bien après tout le reste (page 334 pour les intéressés).

L'auteure :
Brigitte Kernel est productrice-animatrice d'émissions littéraires sur France Inter. Elle présente "Noctiluque" tous les dimanches soirs. Elle a publié plusieurs romans, dont Autobiographie d'une tueuse, Tout sur elle ou Fais-moi oublier.

Fais-moi oublier serait basé sur le début de l'histoire entre notre narratrice et Léa si j'ai bien compris.

Je n'ai pas lu d'autres livres de Brigitte Kernel mais dans "À cause d'un baiser" elle a un style d'écriture très particulier. Tous les dialogues sont intégrés au texte, c'est-à-dire qu'il n'y a aucun guillemets ou tirets pour indiquer les conversations ni rien pour indiquer qui a dit quoi. On le devine en lisant. Parfois, je revenais en arrière en me disant "est-ce qu'elle lui parle en ce moment ou bien elle pense tout haut?". Je dois avouer cependant que ce n'était pas trop difficile à comprendre, juste particulier. Les chapitres sont très courts ce qui est bien et comme je l'ai dit plus tôt le livre est séparé en trois parties.

Finalement, je vous suggère tout de même lire ce livre et de voir si ça pourrait vous rejoindre plus que moi. Je suis certaine que cette auteure écrit de très bons romans mais j'ai juste l'impression de ne pas être tombée sur son meilleur. Bonne lecture!

Auteure : Brigitte Kernel
Maison d'édition : Flammarion
Nombre de pages : 366 pages

Mon avis :

Quatrième de couverture :
Après ses journées de travail, Timothy Carrier a l'habitude de venir boire une bière dans la taverne de son ami. Ce soir-là, un homme bizarre assis à côté de lui au comptoir le prend pour quelqu'un d'autre et lui remet une grande enveloppe. «Dis mille maintenant. Le reste quand elle sera éliminée.» Puis l'inconnue quitte le bar en laissant la photo d'une jolie femme qu'il faut tuer.

Tim Carrier, banal citoyen, se retrouve alors au coeur d'une mystérieuse affaire; il est le seul à pouvoir sauver la vie de cette jeune femme innocente. Tim devra trouver en lui courage, endurance, empathie, toute ces qualités qui font d'un homme ordinaire un héros.

Mon résumé :
Timothy Carrier ayant une vie bien rangée et tranquille voir sa vie prendre tout un tournant suite à un énorme malentendu un soir dans une taverne. Le méprenant pour un tueur à gages, on lui remet une enveloppe pleine d'argent et on lui dit qu'il doit tuer une jeune femme, Linda Paquette, pour avoir le reste de l'argent. Le même soir, on le méprend encore mais cette fois comme étant celui qui remet l'argent (donc par le tueur lui-même. Il tente de le convaincre que le contrat n'est plus nécessaire mais c'est mal connaître Krait qui est un habitué des contrats de ce genre et qui connait très bien les gens qui les commandites.

Tim Carrier tentera alors de sauver Linda Paquette. S'en suit alors une course contre la montre. Krait ayant des ressources très hautes placées, il n'a aucun problème à les suivre et tous ceux qui se trouveront dans son chemin en souffriront. Arriveront-ils à échapper au tueur? Pourquoi veut-on la mort de Linda Paquette ayant une vie plus qu'ordinaire? Qui a commandité le crime?

Les personnages :
Timothy Carrier : Homme célibataire, maçon de père en fils. Tim Carrier ne peut pas laisser les choses aller. Il prend comme mission de sauver la jeune femme sur la photo.

Linda Paquette : Jeune auteure vivant seule. Elle n'a aucune idée de pourquoi on veut sa mort. Elle prend le tout assez bien lorsqu'on lui annonce et elle fait immédiatement confiance à Tim Carrier. Ensemble ils font une belle équipe et qui sait ce qui attend le duo?

Krait (alias Kravet, Kipling, Krane, Kerrington, Konrad, etc.) : Tueur à gage. Krait n'a aucun souvenir de son enfance et ne se souvient même pas de sa mère. Il n'a pas de domicile fixe et se sert dans la maison des autres. Il a une très haute opinion de lui-même et n'a aucune pitié pour lui-même. Il prend tous les moyens pour arriver à ses fins.

Pete Santo : Ami de longue date de Timothy Carrier. Policier et excellent en informatique, il s'avèrera être très utile pour assister notre couple de fugitifs.

Mon avis :
J'avais tellement hâte de lire autre chose que du paranormal. J'avais envie depuis longtemps d'un bon suspense et roman policier. Je suis tombée sur Un type bien à la bibliothèque. Je n'avais jamais lu de Dean Koontz mais mon conjoint oui et nous avons plusieurs livres de lui à la maison. J'étais donc intriguée.

J'ai beaucoup aimé. Il y a du suspense tout le long du livre et j'ai beaucoup aimé l'interaction entre les personnages. L'idée d'une organisation telle que celle derrière le tueur donne froid dans le dos. Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai tout de même adoré et je le recommande.

L'auteur :
Auteur américain de fictions à grand succès, d'abord célèbre pour ses romans à suspense. Dean Koontz est l'auteur de plusieurs romans à suspense et romans d'horreur. Il a publier plusieurs romans sous d'autres pseudonymes.

J'ai bien aimé son style d'écriture. Des chapitres très courts ce que j'aime beaucoup pour une lecture fragmentée. On sait ce que chaque personnage pense car on bascule d'un chapitre à l'autre entre les différents personnages. Je vous invite à découvrir ses romans. Moi, je vais certainement en relire.

Auteur : Dean Koontz
Édition : JC Lattès
Nombre de pages : 410 pages

Mon avis :